Si la politique n'a pas été évoquée lors du service religieux, à l'extérieur, les langues se déliaient. "Ma femme et moi sommes clairement pour le non, nous sommes britanniques!", a dit Tony Maddon, 67 ans, un bénévole travaillant dans la cathédrale. "Le plus important, c'est que l?Eglise encourage les gens à voter, pour que la voix de chacun puisse se faire entendre". Selon plusieurs médias, la reine Elizabeth II, qui refuse de s'impliquer officiellement dans la campagne, aurait également fait une déclaration après avoir assisté à un service religieux près de sa résidence d'été écossaise de Balmoral. "J'espère que les gens vont soigneusement réfléchir à l'avenir", aurait-elle dit. Pour tenter de faire pencher la balance de son côté, le camp du oui multipliait les initiatives.. http://cave-et-traditions.fr/
. jusqu'à inviter les jeunes Ecossais à faire la promotion de l'indépendance lors des repas de famille dominicaux. Le but est de séduire les seniors, considérés comme les électeurs les plus réticents à l'éclatement du Royaume-Uni. Les pro-indépendance ont également organisé dans la soirée un concert à Edimbourg qui s'est tenu à guichets fermés. Les groupes Franz Ferdinand, Mogwai et Frightened Rabbit sont montés sur scène. "C'est vraiment un moment passionnant pour l'Ecosse et c'est super de participer à cet événement", a déclaré Mogwai avant le début du concert. La campagne a également fait irruption dans les stades de football: samedi soir, des supporters ont brandi des pancartes pour le "Yes" à la 18e minute (comme le 18 septembre, jour du référendum) lors du match entre les Celtic de Glasgow et Aberdeen. DOUDOUNES RALPH LAUREN "Les classes populaires sont pour (l'indépendance), ça ne fait pas un pli", a assuré un fan du Celtic, Danny McGee, 28 ans, persuadé que "les financiers de Londres" intriguent pour tenter de maintenir l'intégrité du Royaume-Uni. La domination chaotique des écoles de management françaises dans le monde Avis de gros temps pour les écoles de commerce françaises. Toujours dominantes au niveau mondial, certaines d'entre elles dévissent dans la dernière livraison, publiée lundi 15 septembre, du classement des masters en management établi par le Financial Times. Ce palmarès, qui donne le « la », retient 18 établissements français parmi les 70 universités du monde entier classées par le quotidien économique britannique. Loin devant le Royaume-Uni (qui place 11 universités), la France maintient donc sa suprématie mondiale en matière de formation initiale en gestion et en management. Les Etats-Unis, qui ne délivrent traditionnellement pas de master, sont absents du classement. Pour la 4e année consécutive, c'est la suissesse Université de Saint-Gall qui décroche la première place. DOUDOUNES RALPH LAUREN pas cher
Mais, au sein des écoles françaises, l'édition 2014 réserve des surprises. L'ESCP Europe et l'EM Lyon dévissent : la première passe de la 2e à la 7e place du classement en un an, la seconde de 11e à la 20e. Dans le même temps, d'autres écoles réalisent de bonnes performances : HEC (2e, contre 4e en 2013), l'Essec (3e, contre 8e), l'ESC Rennes (23e, contre 36e), Télécom école de management (25e, contre 34e). Ces deux dernières voient ainsi récompensés leurs efforts constants et réguliers, ces dernières années, pour améliorer la qualité de leur formation. APPARENCES AMBIGÜES Il est remarquable que les deux établissements qui chutent soient aussi ceux qui aient dû affronter une crise de gouvernance ces derniers mois. Alors que la remontée de l'Essec coincide, elle, avec la fin d'une période tendue. Pour autant, il ne faut pas trop se fier à ces apparences ambigües.

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